La filière Science et
technique administrative et de gestion en scelle le lundi
Les 4 365 candidats au Certificat d’aptitude
professionnelle en Science et technique administrative et de gestion (Cap-Stag),
plancheront le lundi 1er juillet 2013, sur toute l’étendue du
territoire national. Selon la directrice des examens et concours de
l’Enseignement secondaire et de la formation technique et professionnelle,
Catherine Saré Bio Mégninou, tout est fin prêt pour le démarrage effectif de
cet examen.
Le nombre de candidats
inscrit cette année, aux épreuves
écrites et pratiques du Certificat d’aptitude professionnelle option, Science
et technique administrative et de gestion a connu une baisse drastique avec une
différence de 1 279 à l’effectif de l’année dernière qui était de 5 644
candidats. Cet examen qui se déroulera jusqu’au mercredi prochain, aura lieu
dans 17 centres de composition. Du côté de la direction des Examens et concours
du ministère de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et
professionnelle, de la reconversion et de l’insertion des jeunes, tout est fin
prêt pour le bon déroulement de cet examen.
La première responsable de la direction des
Examens et concours de l’Enseignement secondaire, de la formation technique et
professionnelle, Catherine Saré Bio Mégninou, a rassuré que sa direction est
prête et toutes les dispositions sont prises pour que la composition puisse
effectivement démarrer le lundi à 8h. Elle
a déploré la baise des effectifs cette année dont les causes sont à rechercher
depuis l’année d’inscription des candidats. Mieux, elle a indiqué que beaucoup voient plus hauts en se posant des questions
sur les débouchées de cette filière, alors qu’ils visent une meilleure
condition de vie. Avec leur diplôme de Cap option Stag, en poche, a-t-elle
poursuivi, ils peuvent facilement trouver
leur petit job, le temps de trouver mieux.
Aux candidats, Catherine Saré Bio Mégninou a déclaré
qu’il ne s’agit pas d’un concours. Elle les conseille d’aborder les épreuves avec toute la sérénité
requise et surtout éviter la panique. « On
ne peut pas leur donner, ce qui est au-delà de leur programme. S’ils ont pris
le temps de suivre les cours normalement durant toute l’année, ils doivent
pouvoir s’en sortie.
Par ailleurs, elle a
déploré le fait qu’aujourd’hui, les élèves n’aiment plus apprendre. Et
d’ajouter : « Ils pensent trop à la facilité, ce qui n’est pas bon
pour eux. Ils ont intérêt à s’investir intellectuellement pour s’en sortie la
tête haute ». « Nous souhaitons bonne chance à tous les candidats et
que beaucoup prennent l’examen au sérieux pour que les résultats soient à la
hauteur des espérances », a-t-elle conclu.
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